Les trois Français appartenant au Groupe Bourbon qui avaient été faits prisonniers au large des côtes nigérianes en septembre dernier ont retrouvé la liberté. Selon Le Point, l’armateur français aurait déboursé pas moins de 110 000 euros pour résoudre ce conflit. La société qui s’est toujours montrée très discrète sur cette affaire n’a pas voulu confirmer l’information.
Enlevés dans la nuit du 21 au 22 septembre par des rebelles au large du Nigéria, les trois Français qui travaillent à bord du navire Bourbon-Alexandre ont été libérés ce mercredi, ainsi que l’a annoncé le Ministre des Affaires Etrangères Bernard Kouchner.
Cette sortie de conflit a eu un prix selon l’hebdomadaire Le Point qui parle d’une rançon de 150 000 dollars, soit 110 000 euros environs. Interrogé, le Groupe Bourbon n’a pas voulu confirmer cette information, déclarant vouloir tenir secrets les modes opératoires, du fait des otages encore retenus par les pirates.