La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui reste encore incurable à ce jour. Elle provoque une perte progressive et irréversible des fonctions cérébrales, plus particulièrement, celle de la mémoire. Découvrez quelques facteurs qui peuvent augmenter les risques de la maladie.
D’après des recherches, plus une personne est instruite, plus son cerveau est développé et lourd, plus il est résistant.
Comme le rapporte 20 Minutes, une étude récente affirme que l’hypertension artérielle à un âge moyen augmente le risque d’avoir la maladie d’Alzheimer. Pour ce qui est le cas de l’hypotension, le manque d’oxygène au cerveau augmente le risque de… démence.
Un indice de masse corporelle (IMC) important chez les moins de 65 ans est lié à un risque de démence. D’après des recherches, un IMC entre 18,5 et 24,9 pour cette tranche d’âge réduit le risque de démence. Alors qu’être en sous-poids à l’âge moyen et plus tard peut l’augmenter.
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La dépression augmente les niveaux de substances chimiques nocives dans le cerveau. Un déséquilibre de celles-ci entraîne la perte de cellules cérébrales, augmentant du coup les risques de développer l’Alzheimer.
Le stress, à long terme, cible les cellules immunitaires du corps, qui jouent un rôle important pour lutter contre la démence. L’hormone cortisol contribue notamment au stress et il a un impact sur la mémoire.
Toujours selon 20 Minutes avec The Conversation, le lien entre Alzheimer et les traumatismes crâniens subis dans le passé a été observé pour la première fois en 1928. Toutefois, il n’a pas encore été prouvé qu’un traumatisme crânien unique ou répétitif soit un facteur contributif. Ce qui est certain, c’est que les dommages cérébraux engendrés par un traumatisme crânien sont semblables à ceux de la démence.
> Notre dossier sur la maladie d’Alzheimer sur LINFO.re