S’il est un moment que nous redoutons, mais que nous attendons impatiemment, c’est bien le passage chez le coiffeur. Avec cette appréhension vient le florilège des phrases cultes qui reviennent souvent. Les voici donc.
"Pas trop court s’il vous plaît, juste les pointes."
Forcément quand les pointes sont coupées, il y a pas mal de cheveux perdus, la coupe finit donc par être au final courte.
"Est-il possible de faire un dégradé sans voir les différences de longueur ?"
C’est une coupe carrée qu’il faudrait demander dans ce cas-là.
"Ce n’est pas trop court ?"
Dans le cas où ça l’est, y a-t-il moyen de rallonger les cheveux en deux minutes ?
"Ça va la température ?"
Le moment où nous passons au bac est le moment où la coiffeuse a décidé de ne pas vérifier la température de l’eau. Soit c’est trop froid et c’est à nous de le dire, soit c’est trop chaud, et nous subissons l’ébullition.
"Si j’ai amené ma propre teinture, je n’ai pas à payer vos produits ?"
Ou comment se faire passer pour la plus grande des radines !
"Le hasard fait bien les chauves"
L’humour douteux des coiffeurs, c’est bien connu !
"Vous avez appris pour Madame X ? Non ? Mon Dieu !"
La séance de ragot commence généralement comme ça ! Pour connaître les dernières nouvelles du quartier, il suffit d’écouter.
"Comment je vous coupe les cheveux ?"
Comme je le demande réellement, comme la coupe que j’ai en tête. C’est possible ?
Source : Au féminin, Virginradio.fr