C’est dans une interview accordée au média américain le New York Post que l’ancienne Première Dame a donné son avis sur l’affaire François Hollande/Julie Gayet.
"Il faut comprendre qu’en France il existe une loi censée protéger la vie privée", explique-t-elle dans des propos traduits par L’Express. "Mais une loi de ce type n’existe nulle part d’autre dans le monde... En France, on est toujours ambivalent. On va dire ’Oh, c’est ma vie privée’. Mais c’est de l’argent public, n’est-ce pas ? Donc ça ne peut pas être privé", estime ensuite la grande brune. Carla Bruni ajoute que si les magazines français ne publient pas ce genre d’informations, "les magazines belges le feront, et ça sortira partout".
En tout cas, la
femme de Nicolas Sarkozy "souhaite le meilleur" au Président François Hollande. Carla Bruni d’ajouter :
"Mener un pays n’est pas aisé. Les temps sont difficiles. C’est bizarre, ce truc de la transparence, où n’importe qui peut vous filmer. Comme si tout le monde pouvait être un espion".
Pour ce qui est du temps passé à l’Elysée avec son époux, elle évoque dans des termes directs sans aller par quatre chemins : "L’Elysée ne me manque pas du tout …. C’était beau, mais c’était comme un musée fantastique. J’avais l’impression d’être une invitée".
A propos de Jagger et Clapton
Dans la même interview, il a également été question de
Mick Jagger et Eric Clapton, deux hommes qu’elle fréquentait jadis. Quant au leader des
Rolling Stones, Mme Sarkozy explique :
"Je n’ai jamais vraiment été sa petite copine, c’est la vérité. Toutefois, j’ai toujours eu pour lui, je dirai, de l’amitié. J’ai énormement d’affection pour lui".
Et au sujet d’Eric Clapton, Carla Bruni avoue : "J’ai été sa petite copine pendant à peu près un an (…) C’est définitivement un génie, tant en compositeur qu’en guitariste. Et il est très simple, jamais prétentieux, très modeste, génial".