Des membres du personnel soignant de la London Clinic auraient tenté de s’approprier le dossier médical de la princesse de Galles. Une enquête a été lancée.
Le 19 mars, The Mirror a révélé l’ouverture d’une enquête à la London Clinic après l’hospitalisation de Kate Middleton en janvier dernier.
D’après le quotidien britannique, certains employés de la clinique ont voulu mettre la main sur les informations confidentielles concernant l’hospitalisation de la femme du Prince William. Selon les propos relayés par une source au sein de l’hôpital, la direction de l’établissement a rapidement pris contact avec le palais de Kensington dès que l’incident a été signalé.
Elle a assuré que des investigations de grande envergure seront lancées pour lever le voile sur cette affaire. Toujours selon la source, "tout l’ensemble du personnel médical a été totalement choqué et désemparé par ces allégations et a été très blessé qu’un collègue de confiance ait pu être responsable d’un tel abus de confiance et d’éthique".
Selon cette source, cet acte constitue un "préjudice", étant donné la réputation de l’établissement qui a l’habitude de soigner la famille royale et d’autres personnalités politiques en toute discrétion. Cela est considéré comme une infraction pénale en vertu de la loi. L’Information Commissioner’s Office (ICO), responsable de la protection des droits à l’information dans l’intérêt du public, a été informé de la situation. "Nous pouvons confirmer que nous avons reçu un rapport de violation et que nous sommes en train d’évaluer les informations fournies", a réagi l’ICO.
Sans entrer directement dans les détails de l’affaire concernant l’épouse du prince William, la clinique londonienne a réagi en soulignant : "Nous sommes fermement convaincus que tous nos patients, quelle que soit leur position, méritent un respect absolu de leur vie privée et de la confidentialité de leurs informations médicales". De son côté, le palais de Kensington, informé de la situation en cours, a sobrement déclaré : "C’est une question qui concerne la London Clinic".