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La presse et quelques chanceux ont eu le privilège d’écouter en avant-première le dernier album de Johnny Hallyday ‘Mon pays, c’est l’amour’.
L’album posthume de Johnny Hallyday est initialement prévu de sortir en novembre 2018. Mais finalement, il est sorti dans la nuit du 18 au 19 octobre. Lundi 15 octobre, les dernières chansons du rocker ont été dévoilées à la presse et à quelques fans chez Warner, la maison de disque du défunt artiste.
Philippe Manœuvre a réagi à cet album en déclarant à Nice-Matin qu’il s’agit d’un "cas unique dans l’histoire du rock". Le journaliste et critique musical a aussi confié que : "Johnny savait que c’était son dernier disque".
Ce que racontent les 11 chansons de "Mon pays c’est l’amour", l’album posthume de Johnny Hallyday https://t.co/llCilYFm0H pic.twitter.com/CqwnHdeaci
— Le JDD (@leJDD) 16 octobre 2018
Franceinfo a cité les paroles du morceau écrit par Pierre Jouishomme et intitulé : ’J’en parlerai au diable’. Avec ce titre, Johnny Hallyday a visiblement évoqué l’alcool et la drogue en chantant : "J’ai trop flirté avec les limites, je ne vais pas le nier, j’assumerai mes choix".
Le Parisien, quant à lui, a rapporté d’autres paroles du même titre qui disent : "Le jour viendra de répondre de mes actes et je ne me cacherai pas. J’en parlerai au diable. Il saura m’écouter. L’innocent, le coupable. L’homme que j’ai été".
Avec toujours la même chanson, le chanteur s’est pratiquement confessé sur sa propre mort quand on l’entend chanter : "J’aurais voulu rester pour le pire, le meilleur… Comment rester debout quand l’orage se réveille ? Au fond du cœur des hommes. Le soleil se couche. La rage me rappelle que je ne suis qu’un homme".
Source : voici.fr
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