Dans le cadre de la plainte pour viol déposée par une jeune Américaine contre Cristiano Ronaldo, les enquêteurs de Las Vegas veulent vérifier si l’ADN est bien celui du footballeur.
Selon les informations révélées par Wall Street Journal, relayées par Le Parisien, une requête pour obtenir un échantillon d’ADN de Cristiano Ronaldo accusé de viol par une jeune Américaine rencontrée en boîte de nuit, a été transmise aux autorités judiciaires.
Peter S. Christiansen, un avocat de la star portugaise estime qu’il s’agit d’une procédure "classique". Dans un communiqué transmis à l’AFP, il a indiqué que CR7 maintenait toujours sa version des faits : "ce qui s’est passé à Las Vegas en 2009 était de nature consensuelle". Il l’a d’ailleurs confirmé le 10 octobre, selon Eurosport. La présence de son ADN ne serait donc étonnante.
Dans une plainte déposée à Las Vegas, la jeune femme, aujourd’hui âgée de 34 ans, affirme que la superstar portugaise de la Juventus l’a sodomisée de force dans sa chambre d’hôtel le 13 juin 2009. Elle aurait pourtant refusé ses avances et se serait même protégé le sexe de ses mains.