NICOLAS MESSYASZ/SIPA
Arash Derambarsh, la victime présumée d’Ari Abittan, a été "traumatisée physiquement et moralement", d’après son avocat.
C’est un nouvel élément dans l’affaire du viol impliquant le comédien et humoriste Ary Abittan. Au lendemain du placement sous contrôle judiciaire de l’acteur, les chroniqueurs de Touche pas à mon poste se sont penchés sur l’affaire. D’après Guillaume Genton, Ary Abittan se réfugie actuellement avec sa famille dans un hôtel pour réfléchir à "une stratégie de communication pour envisager l’après". Le chroniqueur a également discuté avec l’avocat de la victime présumée, Arash Derambarsh. L’homme de droit lui a alors confié que "cette affaire ne serait pas uniquement une affaire de viol, mais également une affaire de violences", rapporte le magazine Closer.
Arash Derambarsh aurait été victime de violences, souligne Guillaume Genton citant les propos du conseil. Son avocat a d’ailleurs évoqué une "violence inouïe" et des "blessures constatées par l’unité médico-judiciaire". La victime présumée, âgée de 21 ans, se "dit traumatisée physiquement et mentalement par les faits", poursuit la même source. La jeune étudiante n’aurait pas repris ses études et vivrait "recluse", selon son avocat. La jeune femme a également précisé qu’elle avait déjà eu une liaison avec Ary Abittan. Placé en garde à vue, le comédien a nié les faits qui lui sont reprochés.
Ary Abittan encourt jusqu’à 15 ans de prison si les faits de violences sont avérés. Dans cette rude épreuve, le comédien bénéficie du soutien de sa compagne. "Elle le dit, elle le clame, elle le soutient et elle n’y croit pas", a affirmé le chroniqueur de Touche pas à mon poste Bernard Montiel.
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