Le fils aîné de la fratrie a pris la parole lors de l’émission "L’Heure des Pros" sur CNews pour éclaircir la situation autour du conflit familial, notamment lié à l’héritage et à la santé de son père, Alain Delon.
Ce vendredi, Anthony Delon, invité sur le plateau de l’émission "L’Heure des Pros" sur CNews, a décidé de mettre fin aux spéculations et malentendus entourant le récent conflit familial au sein des Delon. Il a déclaré avoir déposé une main courante contre sa sœur, Anouchka, en novembre dernier.
Le fils aîné de la fratrie a souhaité expliquer la vérité derrière cette affaire. "Je voudrais commencer par éteindre un incendie, parce que toutes ces histoires d’argent, d’héritage, ça me rend malade", a-t-il affirmé. Il a ajouté qu’il ne voulait pas que cette situation soit assimilée à d’autres affaires médiatisées comme celles de Johnny Hallyday et de Liliane Bettencourt. Le fils aîné a insisté sur le fait que la succession était réglée et qu’il n’y avait pas de problèmes financiers.
Il a clarifié la répartition de l’héritage familial, indiquant que sa sœur Anouchka détenait 50%, tandis que lui-même et son frère Alain-Fabien avaient chacun 25%. Anthony Delon a tenu à mettre les points sur les "i" : "Il n’y a pas de conflit, ni de guerre d’héritage. Maintenant, le combat d’aujourd’hui il est où ?" Il a indiqué que leur principal objectif était de respecter la volonté de leur père, Alain Delon.
La querelle porte également sur la résidence de leur père à Douchy dans le Loiret. Anthony Delon a déclaré qu’ils voulaient que leur père finisse ses jours dans cette maison. Sur sa lancée, il affirme que l’angoisse de sa sœur Anouchka était liée à des considérations fiscales en cas de changement de résidence de leur père. Il a également accusé sa sœur de vouloir garder le contrôle sur leur père en le conduisant en Suisse.
Anthony Delon reproche également à sa sœur d’avoir dissimulé des tests cognitifs négatifs de leur père. Il dénonce son rôle présumé de complice dans la situation avec Hiromi Rollin, la dame de compagnie. "Si on avait su, on aurait agi plus tôt dans l’affaire Rollin. On aurait donné ces tests à la gendarmerie, on les aurait inclus dans la plainte", a-t-il martelé.
Source : Lefigaro.fr