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Le journaliste David Pujadas fait des révélations sur sa jeunesse dans le magazine Society. Il y raconte avoir eu une période houleuse au cours de laquelle il consommait toutes sortes de drogues.
L’habit ne fait décidément pas le moine. En effet, sous ses faux airs de premier de la classe, le journaliste David Pujadas raconte dans le magazine Society en vente depuis le 9 décembre avoir vécu une grosse période "new wave" caractérisée par la consommation de nombreuses drogues. Avant le service public et le journal de 20 heures de France 2, il fut un jeune comme un autre. Comme de nombreux autres adolescents, David Pujadas affirme venir d’une génération qui baigne dans les drogues. "J’y ai goûté, cela faisait partie du décor...", confie-t-il, avec en illustration une anecdote très étonnante.
David Pujadas raconte un voyage au Maroc avec un groupe d’amis alors qu’il avait seulement 17 ans. "L’idée de mes potes, comme on n’avait pas une tune, c’était d’acheter une bonne boulette de drogue de la taille d’une orange dans le pays et de la revendre dans le Sud, où le shit était rare à l’époque, pour payer nos vacances. Mais on était un peu trop tendres", se souvient-il. Des jeunes de Marrakech avaient proposé à David Pujadas et ses amis un thé à la menthe chez eux. "Ils cherchaient quelque chose à fumer, on a sorti la grosse boulette, eux les menottes", poursuit le journaliste. Effrayés, les jeunes Français ont oublié leur drogue sur la table.
Selon David Pujadas, il s’agissait de faux policiers, mais les membres du groupe avaient paniqué. Ces dérives de jeunesse ne l’ont cependant pas empêché de faire des études et mener ensuite une belle carrière. Et derrière le costume du journaliste se cache une vie trépidante rythmée notamment par sa très grande proximité avec ses quatre enfants.
