Alors que son producteur doute de la sincérité de Michel Polnareff au sujet de sa maladie, le chanteur se dit "attristé par la polémique" et se demande jusqu’à quand va-t-on nier son état de santé. Le chanteur livre sa version des faits.
Fabien Lecouvre, l’attaché de presse de Michel Polnareff, a affirmé que le chanteur ressent "beaucoup de peine" rapporte en exclusivité Gala. En cause, le fait que son producteur remet en cause sa sincérité au sujet de sa maladie. "Je ne voulais pas lui cacher la vérité", confie-t-il. "Alors je lui ai lu ce matin le papier du JDD où on remet en cause son embolie pulmonaire. Il était triste. Sous le choc… Et se demande ce que peut cacher une telle réaction…".
Depuis le 6 novembre, selon son attaché de presse, Michel Polnareff n’avait plus de nouvelles de son producteur, et quand il lui a annoncé sa maladie, d’abord diagnostiquée comme une sinusite se transformant en bronchite et soignée par le docteur Abitbol, il ne s’est pas manifesté. "Pourquoi remet-il en cause les bulletins de santé publiés par le professeur Siou de l’hôpital américain de Neuilly ?", se demande-t-il.
Fabien Lecoeuvre précise également qu’aucun médecin spécialiste du monde du spectacle n’est venu constater la maladie de Michel Polnareff depuis le 2 décembre ni depuis son hospitalisation, il y a une semaine. Si le chanteur est assuré pour ses derniers spectacles, ce serait au producteur de payer les frais d’annulation de concerts et de santé de la star, soit plus de 500 000 euros.
Son attaché de presse réfute également le fait que Michel Polnareff se soit écroulé sur la table ivre, la veille de ses annulations de concert. Il conteste également les propos tenus par le garde du corps dans le JDD. "Il n’était pas avec nous ce soir-là, il nous a simplement déposés devant le restaurant et s’est éclipsé. Je tiens à préciser que c’est un employé de la production et non de Michel", a-t-il ajouté.
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