Outre son combat contre la dépression, l’acteur Robin Williams, décédé lundi, souffrait également de la maladie de Parkinson selon les déclarations de sa femme Susan Schneider.
Dans un communiqué repris par la presse française, Susan Schneider a écrit que son défunt mari "était courageux alors qu’il luttait contre la dépression, l’anxiété et un début de maladie de Parkinson", ce que Robin Williams n’était pas encore prêt à partager publiquement, a ensuite précisé la veuve.
Mme Schneider a également souligné que son époux, oscarisé en 1998 pour sa performance dans ‘Will Hunting’, avait réussi à "rester sobre" alors que l’homme avait admis à plusieurs reprises être tombé dans l’alcoolisme.
Si Susan Schneider a fait ces révélations, c’est pour alerter mais également encourager toutes personnes atteintes de ces mêmes maux afin qu’elles ne tombent pas dans le désespoir.
"Nous espérons que dans la foulée du décès tragique de Robin, d’autres vont trouver la force de rechercher les soins et le soutien dont ils ont besoin pour les aider dans les batailles auxquelles ils font face, afin qu’ils aient moins peur", a-t-elle continué dans le même communiqué.
La dame de poursuivre : "Robin a passé tant de temps dans sa vie à aider les autres. Qu’il divertisse des millions de gens sur scène, dans les films ou à la télévision, nos troupes sur les lignes de front, ou qu’il réconforte des enfants malades, Robin voulait nous (faire) rire et nous sentir moins effrayés".
Et de conclure : "Son plus bel héritage, au-delà de ses trois enfants, est la joie et le bonheur qu’il a offert à d’autres, particulièrement à ceux qui menaient des batailles personnelles".
L’année prochaine sur grand écran, au mois de février, Robin Williams est attendu dans le troisième volet de ‘La Nuit au Musée’ avec Ben Stiller et Owen Wilson. Il y rendosse le rôle de Theodore Roosevelt.