Avec un tour de hanches de 241,3 cm, Bobbi-Jo Westley, une Américaine résidant en Pennsylvanie veut grossir encore et toujours pour atteindre ses objectifs.
Alors qu’elle met sa vie en danger, Bobbi-Jo Westley ne recule devant rien pour avoir les hanches les plus larges du monde. Cette Américaine de 43 ans vivant en Pennsylvanie est d’ailleurs fière de ses hanches qu’elle trouve sexy. Toutefois, la quadragénaire n’est pas encore satisfaite de son corps. Avec un tour de hanches de 241,3 cm, elle veut battre le record de sa compatriote Mikel Ruffinelli qui affiche ses 251,46 cm au mètre-ruban. Pour atteindre son objectif, elle doit continuer à prendre du poids malgré ses 246 kilos.
Des risques à courir
Son quotidien est loin d’être facile. Rien que pour se déplacer, elle rencontre de grandes difficultés. Ses médecins lui ont prévenu des risques qu’elle court, car son corps s’est transformé en une bombe à retardement. Toutefois, la quadragénaire ne veut pas arrêter. "Même si j’ai peur de la mort, j’ai l’impression irrépressible que c’est quelque chose que je dois faire", a-t-elle confié sur le récit de 7sur7.be.
Un gagne-pain
Bobbi-Jo Westley a décidé de tirer profit de son corps étant donné qu’elle est consignée à rester chez elle. Grâce aux shows érotiques sur internet et aux sessions webcam payantes, l’Américaine de 43 ans gagne 2 000 dollars de l’heure soit près de 1 760 euros. "Mes hanches font de moi quelqu’un d’unique. C’est ce qui fait que je suis moi. Quand j’ai réalisé qu’il y avait des hommes qui aimaient ma silhouette, j’étais assez surprise", a-t-elle déclaré.
La quadragénaire qui vit avec son mari reçoit de nombreux cadeaux, des messages d’encouragement et même des demandes en mariage. Pourtant, certains internautes n’hésitent pas à déverser leur haine sur elle, mais elle ne réagit pas. "Je veux qu’on se souvienne de moi pour quelque chose, et je pense qu’avoir les plus grandes hanches du monde est ce à quoi j’étais destinée", a-t-elle confié.
Un problème de thyroïde
L’obésité de Bobbi-Jo Westley résulte d’une hypothyroïdie diagnostiquée il y a six ans seulement. La nutritionniste qui lui rend visite chez elle estime que son état est dû à ses choix alimentaires. Pour rester en bonne santé, la quadragénaire doit désormais perdre au minimum 90 kilos.