Des chercheurs des universités d’Édimbourg et de Sydney se sont penchés sur le sujet.
D’après une étude menée par des chercheurs des universités d’Édimbourg et de Sydney, l’aîné de la famille serait plus intelligent par rapport à ses frères et sœurs. Ils réussissent souvent mieux, car ils disposeraient d’une plus grande attention et d’une plus grande stimulation de la part de leurs parents.
En effet, lorsqu’un couple découvre la parentalité pour la première fois, il met tout en œuvre pour que son enfant réussisse. Lors de l’entrée à l’école, les progrès de ce dernier sont suivis de près.
L’attention et la stimulation auraient cependant tendance à diminuer pour les autres enfants. Les parents s’investissent moins, car ils ont moins de temps pour leur faire la lecture, leur faire écouter des comptines ou pour les initier aux travaux manuels.
Mais la place dans la fratrie n’influe pas que sur le comportement. Elle se voit également dans la réussite scolaire. Souvent, l’aîné est contraint de montrer l’exemple tandis que le petit dernier est davantage chouchouté.