Après des années d’absence dans le septième art, Demi Moore revient avec "The Substance". Ce "body horror" débarquera dans les salles obscures françaises dans un mois. La bande-annonce a été dévoilée le 7 octobre et elle donne un aperçu percutant de l’intrigue.
Lors de ses premières diffusions sur grand écran, plusieurs cinéphiles ont dû partir, ne supportant plus certaines scènes. Les spectateurs qui vont venir le découvrir à partir du 6 novembre sont prévenus, il ne faut pas être facilement choqués. Ce chef-d’œuvre a effectué sa grande première au mois de mai dernier durant le Festival de Cannes. Il a bluffé le jury et les personnes qui ont assisté à la projection. Le film a même été primé, il a reçu le Prix du meilleur scénario. Le film "The Substance" s’inscrit dans la tradition du "body horror" qui repousse les limites du gore. Il vous emmènera dans un voyage horrifique dans les profondeurs du corps humain.
Elisabeth, une femme de 50 ans, se fait virer de son travail le jour de son anniversaire. La belle brune est une ancienne star, elle est devenue prof d’aérobic sur le petit écran. Sa vie bascule lorsque son patron lui annonce son licenciement. La chaîne de télévision estime qu’elle est dépassée et qu’elle va mettre une personne plus jeune à sa place. À ce moment précis, son chemin croise celui d’un homme rempli de mystères. Ce dernier lui propose un liquide miracle lui donnant la possibilité de "devenir la meilleure version d’elle-même". Déboussolée et avide d’une seconde jeunesse, la cinquantenaire accepte le deal. Sue, son double va apparaître, elle est belle et jeune. Ce rôle est joué par Margaret Qualley. Une condition demeure. Pour que le produit miracle fonctionne, les deux femmes doivent faire une alternance pendant une semaine. Les choses vont mal tourner, aucune d’elles ne veut faire des concessions et souhaite exister à tout moment.
Les cinéphiles canadiens, américains et britanniques ont déjà découvert "The Substance". Des commentaires sur certains sites racontent que plusieurs personnes ont abandonné la projection en plein milieu du film. Les images étaient insoutenables pour elles.
