Des chercheurs australiens révèlent qu’avoir un chat pourrait doubler le risque de troubles liés à la schizophrénie, ravivant les suspicions entourant le parasite Toxoplasma gondii.
Cependant, les résultats incertains et les lacunes méthodologiques nécessitent des recherches approfondies.
Félin énigmatique :
Des scientifiques australiens explorent la connexion entre la présence féline et la schizophrénie. Une étude inquiétante suggère que posséder un chat pourrait augmenter le risque de développer cette maladie mentale complexe.
Parasite suspect :
Depuis les années 1990, l’idée d’une relation entre le Toxoplasma gondii, transmis par les chats, et la schizophrénie intrigue. Les chercheurs soulignent que l’exposition au parasite pourrait être un facteur, mais des preuves solides font défaut.
Étude en question :
L’analyse de 17 études sur 44 ans révèle une "association positive significative" entre la possession de chats et les troubles schizophréniques. Toutefois, les chercheurs exhortent à la prudence en raison des faiblesses méthodologiques et des résultats incohérents.
Causalité ambiguë :
Les propriétaires de chats ont-ils réellement un risque accru de schizophrénie ? Les chercheurs admettent que les résultats ne permettent pas de tirer des conclusions définitives et appellent à des recherches plus approfondies pour dissiper le mystère entourant cette étrange corrélation.