La BMW Série 5 s’inscrit dans la lignée des dernières productions bavaroises comme le Z4, qui a inspiré l’extrémité de sa face avant bombée, et bien sûr la Série 7 qui lui prête sa jeune plate-forme. Il y a même de la nouvelle série 3 dans le regard. Pour le plus grand plaisir des puristes, l’ère Chris Bangle semble bel et bien révolue.
On se rapproche de la BMW Série 7 pour ce qui est du dessin de la planche de bord, du volant, de la console centrale ou encore du sélecteur de rapport.
La grande sœur a aussi servi de modèle au rayon équipements puisqu’on retrouve une liste pléthorique d’options de confort et de sécurité. Citons pèle-mêle l’avertisseur d’angle mort, l’iDrive avec connexion Internet, l’affichage tête haute associé à un système de vision nocturne, une multitude de caméras pour faciliter les manœuvres, ou encore un système de parking automatique qui se charge de tourner le volant lors des créneaux (disponible en fin d’année à la Réunion).
A l’extérieur
On note un gros travail porté à la partie arrière qui concentrait sur l’actuelle génération les plus vives critiques. Les feux sont nouveaux, la malle de coffre est mieux intégrée grâce à des ailes plus musclées et un pare-chocs plus enveloppant, et la chute de pavillon se veut davantage inclinée. La découpe des portes est, elle aussi, tout à fait différente, plus sculptée.
La face avant se modernise également avec un interminable capot nervuré à l’extrémité arrondie et des blocs optiques plus sages.