Ce vendredi 13 est le dernier de l’année ! Jour de chance ou pas ?
Dans la pensée collective, du moins pour une majorité d’individu, le vendredi 13 est synonyme d’une chose : le malheur. Il fait couler de l’encre, inspire des réalisateurs. Mais pourquoi fait-il autant parler de lui ?
Si vous êtes paraskevidékatriaphobes, effrayés par le vendredi 13, ou juste triskaidékaphobes – peur du chiffre 13, passez votre chemin.
Le malheur de cette date tire sa légende de plusieurs histoires. Selon les Grecs, le 13 représente l’imperfection face au 12, signe de l’harmonie (12 Dieux olympiques, 12 signes du zodiac).
La Bible a aussi son lot de superstition et Juda en fait partie. Il est le treizième participant de la Cène, dernier repas de Jésus.
Finalement, on retrouve ce nombre dans bien des malheurs : Adam et Eve et l’histoire de la pomme croquée se déroule un vendredi 13, le treizième cycles lunaires. Ou encore le treizième arcane du tarot représentant la mort.
D’autres civilisations portent en gloire le 13 comme les civilisations Maya, Aztèque, Sumérienne ou Egyptiennes, relative à l’éternité pour ses derniers.
En 1991, la Française Des Jeux décide de nommer le vendredi 13 comme "la journée de la chance". La FDJ ne trompe personne. Son objectif est à peine caché, appâter le plus de joueur possible. Et c’est un succès, l’entreprise voit son nombre de participant multiplier par 3 ce jour-là.