Des dérives, et un risque de glissement vers le travail gratuit ! Des associations montent donc au créneau contre la généralisation de la réforme du RSA, qui prévoit l’obligation de 15 heures d’activité par semaine pour les bénéficiaires, en contrepartie de leur allocation. Pour Emmaus, la Fondation Abbé Pierre et la Ligue des Droits de l’homme, la loi peut éloigner les allocataires de leurs projets d’insertion plutôt que les accompagner vers l’emploi.