La centrale hydroélectrique de Takamaka a été mise en service il y a 50 ans.
"La production électrique est bonne depuis le mois de mars avec les différents phénomènes météo qui nous ont touchés."
"C’est un barrage au coeur de l’île avec des accès difficiles, on y accède que par le téléphérique. Il faut 2 à 3 heures à pieds. Au centre de l’île, c’est le seul outil facile et rapide."
"Elle peut alimenter une ville comme Saint-Benoît. Avec les deux, on peut alimenter Saint-Pierre."
"C’était un chantier qui était phénoménal de l’époque. Il y avait plus d’un millier de personnes qui travaillaient jour et nuit pour ce chantier."
"Les ouvriers dormaient sur place. Il y avait toute la restauration et un trottoir."
"C’est une énergie 100% renouvelable, tout à fait naturelle. C’est 33% de la production à La Réunion : hydrolique, photovoltaïque et un peu d’éolien."
"On avait fait une étude de Takamaka 3 mais on a abandonné car il y avait des impacts importants au niveau de la nature : des roches poreuse. Il aurait aussi fallu assécher 10 kilomètres de rivières. Il y avait aussi beaucoup de Réunionnais qui vont sur les rives pour pique-niquer donc il y avait un impact sociétal aussi."
"L’eau est une énergie renouvelable. On a aussi le soleil et la mer. On réfléchit à notre production électrique de demain. L’avenir sera décarboné dans les 10 ans, 20 ans à venir. On va privilégier les centrales électriques."