Les piments extra-forts de Jean-Baptiste Payet font le buzz sur les réseaux sociaux. La "prière", la "couillonnisse" ou encore le "redress guel", leurs noms accrocheurs font la différence et attirent les clients.
La "couillonnisse", le "redress guel", ces piments font actuellement le buzz. Sur les réseaux sociaux, les créations de Jean-Baptiste Payet récoltent des dizaines de milliers de vues. Ce succès s’explique par des appellations humoristiques qui interpellent les internautes.
"Aïe aïe aïe ! Je viens d’en goûter un peu, ça arrache, mais c’est extra !", confie une femme interrogée.
Derrière le marketing, il y a un produit péi récolté dans les plantations de l’Est de l’île. Les produits sont ensuite transportés et reconditionnés dans le quartier de la Bretagne à Saint-Denis.
"Le redress guel porte ce nom, car si une personne se lève de mauvaise humeur, il suffit de croquer dans le piment pour retrouver le sourire", explique Jean-Baptiste Payet.
Cette passion a démarré par une reconversion il y a 8 ans. L’engouement pour les piments de Jean Baptiste Payet gagne La Réunion, il y a 3 mois, il produisait une centaine de bocaux par jour, aujourd’hui c’est près de 400.