Certaines communes organisent des centres aérés en cette période, pour les plus jeunes et parfois même pour les adolescents.. C’est le cas à la Petite-Île. Des centaines d’enfants qui s’amusent et qui mettent de coté, téléphone et ordinateur. Seul bémol pour les animateurs : il faut s’adapter à la mauvaise météo
Ils sont 120 à l’école Alpinia de Petite-Île. Des enfants de 7 à 11 ans. pas de cours ici, mais un centre aéré. La journée commence par une activité dynamique qui met en forme : de la danse et du chant. Les marmailles prennent ensuite la direction des salles, où des ateliers créatifs sont au programme.
"Ça nous libère un peu de la maison, on rencontre de nouvelles personnes. On a des copains de l’école, on joue..."
"On fait des constructions, on apprend des choses et à respecter."
A quelques kilomètres de là, 40 adolescents se retrouvent dans cette salle de la commune à Gand Anse. Des jeux en bois, souvent inconnus de ces jeunes sont disponibles. Entre amis, entre ados du même âge, chacun y trouve son compte. Une fois le beau temps revenu, c’est en plein air que les jeunes profitent du "Bumper-ball".
"C’est un jeu de football avec des bulles, ça permet de ne pas se faire mal."
"On n’est pas sur des écrans alors qu’à la maison oui."
Que ce soit chez les petits ou les plus grands, les animateurs sont présents et organisent les activités, avec une difficulté en ce moment, la météo.
"On ne met pas de thème pour les centres aérés, parce qu’on ne pourra peut-être pas finaliser. Du coup les enfants sont libres de choisir", illustre Johnny Threstran, directeur de l’accueil de loisirs à Petite-Île.
Florence Corré, directrice des Journées Vacances Loisirs à la mairie de Petit-île de poursuivre : "Ce matin, on avait des activités en extérieur avec les Bumper, on dû attendre qu’il arrive de pleuvoir avant de débuter."
Ces centres aérés remportent a chaque vacances un franc succès, d’autant que selon ces jeunes, pendant ce temps, ils mettent de coté les téléphones et autres ordinateurs pour des activités en extérieur.