La drogue du violeur n’épargne pas La Réunion. L’an dernier, une victime avait accepté de se confier à Antenne Réunion.
Qu’est ce que la drogue du violeur ? Comment circule cette drogue ? Comment éviter de tels drames ?
La drogue, pourrait être souvent utilisé en cas d’agression ou de tentative d’agression. L’année dernière, une jeune femme témoignait au micro d’Antenne Réunion.
"Mes souvenirs sont flous. On suspecte que j’ai ingéré une substance chimique. Mon instinct de survie m’ont permis de me souvenir de moments précis où l’agresseur a essayé d’arriver à ses fins. Mais j’ai réussi à échappe au pire."
Sur les réseaux, des alertes circulent pour témoigner. Une femme dit avoir ingéré du GHB dans une boîte de l’île.
Dans le centre Kaz’Oté, les dossiers pour viol suite à une substance chimique sont peu fréquents, même si certaines nouvelles substances apparaissent. "On a différents produits qu’on appel les NPS (nouveaux produits de synthèse)", explique Jean-François Guignard.
Face à cette menace, les spécialistes n’ont qu’une recommandation : la vigilance.
"Il ne faut jamais boire une boisson qui n’est pas dans un emballage fermé."
À Saint-Pierre, le jour de la rentrée, un jeune collégien aurait été drogué, avant d’être violé par plusieurs individus.
Une enquête est ouverte pour tenter de comprendre ce qui s’est produit vendredi 16 août, non loin du collège de la Ligne des Bambous.