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Aujourd’hui, 24 juillet, c’est la journée internationale des cousins et cousines. Anne, jeune réunionnaise de 23 ans, nous partage son ressenti à ce sujet.
Anne Nayagom est une jeune réunionnaise de 23 ans, originaire du Tampon. En cette journée internationale des cousins et cousines, la jeune femme a tenu à nous partager son expérience sur les liens qu’elle entretient avec ses cousins et ces cousines, qu’ils soient du "côté maman" ou "côté papa".
"La plupart d’entre eux sont comme une grande fratrie pour moi. Je suis reconnaissante d’avoir des cousins et cousines qui ont grandi avec moi et que je vois encore évoluer aujourd’hui", nous raconte la jeune femme.
Malheureusement, comme pour bon nombre de familles, des conflits éclatent entre parents, impactant les relations et divisant parfois les cousins et cousines. Ce furent le cas pour Anne, et certains membres de sa famille.
Néanmoins, "en grandissant, nous avons eu la chance de devenir plus matures que nos parents, et nous avons fait en sorte de nous voir fréquemment pour partager des moments précieux que je chéris énormément" poursuit la jeune tamponnaise. "Certains sont en métropole, mais je ne les oublie pas pour autant. Chacun d’eux compte à leur manière, y compris ceux qui ne sont plus là et veillent sur nous de là-haut."
Anne est très attachée à la famille, et c’est dans les échanges avec ses cousins et cousines qu’elle trouve le plus de bonheur "Il n’y a pas besoin d’une journée spéciale pour qu’ils sachent à quel point ils comptent pour moi, mais je tiens tout de même à partager ce que ces relations m’apportent."
"Je ne remercierai jamais assez mes oncles et tantes pour avoir donné vie à chacun de mes cousins et cousines. Quand bien même je ne suis pas proche de certains. Peu importe leur singularité ou leur excentricité, ils occupent tous une place spéciale dans ma vie."
