L’association Noélanie, engagée dans la lutte contre les jeux dangereux, s’inquiète de voir le nombre de contrats aidés réduits dans les écoles et craint "une surveillance au rabais".
Jeu du foulard, du plastique sur la tête, de la tomate... Ces jeux d’enfants extrêmement dangereux finissent bien souvent en drame. Parfois, par manque de qualification, le personnel sous-estime le danger de ces jeux.
"La plupart du temps ce sont des personnes qui n’ont pas de formation, qui n’ont pas forcément le BAFA", Christine Sené, la présidente du l’association Noélanie, engagée dans la prévention contre les jeux dangereux.
La présidente de l’association Noélanie se prononce pour une meilleure préparation de ce personnel et contre la diminution des contrats aidés. Pour elle, moins de personnel, cela signifie avant tout une surveillance au rabais. En attendant que le personnel en contrats aidés ne reçoive une formation adaptée, l’association Noélanie continue ces opérations de sensibilisation dans les écoles.