La grande finale de Génération Run Star, c’est ce vendredi soir sur Antenne Réunion ! À l’issue de ce Prime, c’est le public qui décidera qui sera le grand gagnant de l’édition 2018. A l’approche de LA soirée, les candidats sont à la fois nostalgiques et stressés.
Au terme de six semaines de compétition, c’est le grand soir de la finale de Génération Run Star. Au départ ils étaient dix, ce vendredi 16 novembre, ils ne sont plus que cinq en lice pour décrocher le titre. Une aventure ponctuée de rebondissements, mais que les candidats regardent déjà avec beaucoup de nostalgie.
"C’est vraiment une surprise, je pensais partir bien plus tôt. Du coup c’est que du bonheur et de l’excitation avec un peu de pression mais toujours excitée de monter sur scène", lance Jaya.
"Première dans les Primes, puis ballotage, repremière, puis reballotage... les montagnes russes, mais c’est génial ! C’est tout moi, jamais le juste milieu, c’est les extrêmes, tout ou rien !" confie Maud.
Pour la finale, les candidats chanteront en duo avec de grands artistes réunionnais. Parmi lesquels Ti Fock ou Emmanuelle Ivara. Une occasion unique qui s’accompagne d’un peu de stress pour Jémo.
"En duo, ça va être avec mon idole de La Réunion, je vais chanter avec Ti Fock, c’est le top, avec la chanson Docker, c’est le petit côté de là où vient la famille, du Port !"
Pour Jérôme, "on a tellement envie de bien faire, même pas pour nous mais pour l’artiste, ne pas casser le morceau et rester dans sa ligne d’écriture que l’on va faire au mieux pour que l’artiste soit fier de nous et que nous soyons aussi fier de nous."
Pour d’autres comme Loretta, le stress n’a pas sa place, être arrivé en finale est déjà une consécration. "J’ai envie de profiter du moment, de ne pas me prendre la tête et puis de prendre ce qu’il y a de meilleur, là on dans le meilleur alors je vais tout prendre."
Et même dans le jury, l’émotion est vive. Pour Benjam, nouveau juré de l’émission, l’élimination d’un candidat reste difficile. Mais le plus important ce soir, c’est de profiter. "En tout cas, pour sak i reste, ben apprécie le bon moment et oublie un instant que néna toute cette pression derrière."