Antenne Réunion
Les 50 militaires de la sécurité civile qui viennent renforcer le dispositif de lutte anti-vectorielle arrive demain à La Réunion.
En perspective d’un pic épidémique prévu mi-avril, 50 militaires de la sécurité civile viendront renforcer le dispositif de lutte anti-vectorielle sur le terrain. Ils arrivent dès demain à La Réunion.
En perspective d’un pic épidémique prévu mi-avril, 50 militaires de la sécurité civile viendront renforcer le dispositif de lutte anti-vectorielle sur le terrain.
"Le gouvernement a anticipé. Il a travaillé avec le personnel de l’ARS, les pompiers volontaires, le RSMA. Ce renfort va venir coordonner et permettre à l’ensemble des équipes d’aller dans les endroits où il y a besoin", a expliqué Christelle Dubos, Secrétaire d’État, auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé.
Les prévisions réalisées par l’Institut Pasteur et Santé Publique France annoncent un pic de l’épidémie de dengue pour la mi-avril. Dans ce contexte et conformément au dispositif ORSEC * "lutte contre les arboviroses", le préfet de La Réunion a sollicité du ministère de l’Intérieur le renfort d’une cinquantaine de personnels issus des formations militaires de la Sécurité Civile (FORMISC).
Ces militaires des unités d’intervention et d’instruction de sécurité civile de Brignolles (83) et de Nogent-le-Rotrou (28) arriveront le mercredi 27 mars 2019 à La Réunion pour deux mois.
Ils auront deux missions principales : d’une part, appuyer les services de la lutte anti-vectorielle dans les actions de démoustication (40 personnes) et, d’autre part, renforcer la coordination des opérations au sein des sous-préfectures (10 personnes).