L’île intense est peuplée d’une faune naturellement riche. Néanmoins, certains animaux inhabituels viennent parfois rendre visite aux Réunionnais.
Dimanche 26 décembre dernier, un éléphant de mer s’est échoué à la Grande Chaloupe. Cette femelle de 400 kilos avait été secourue puis était repartie à la mer par ses propres moyens. Quelques jours plus tard, ce même éléphant de mer avait été observé une seconde fois aux abords du Port en train d’effectuer sa mue.
Baptisé Alan, cet éléphant de mer était venu à plusieurs reprises sur la plage du tremblet. Des élèves d’une école locale était même devenus les parrains du phoque.
En 2017, au Port, un petit singe avait été observé en train de se balader de toit en toit sous les regards médusés des passants. Peu après ça, le primate avait été capturé et envoyé dans un zoo en métropole.
Ces « physalies », autrement appelées fausses méduses ou encore galère portugaise avaient été observées en début d’année 2021. Ce sont des animaux marins qui flottent à la surface de l’eau. Vivant plutôt dans les eaux chaudes des régions tropicales, elles ont été observées dans le bassin de Manapany à Saint-Joseph. Leurs brûlures peuvent provoquer de graves réactions allergiques.
Prénommé Sam, un dromadaire vit à Saint-Denis, dans le jardin d’un couple passionné par les animaux. L’animal s’est parfaitement adapté à son lieu de vie et les riverains n’hésitent pas à s’arrêter pour admirer ce dromadaire en pleine ville et questionner les heureux propriétaires.
En février 2021, un flamant rose s’est posé sur les côtes réunionnaises. Une situation insolite qui avait attiré de nombreux curieux. Après s’être posé sur l’île, l’animal s’était retrouvé coincé dans des filets du côté de Saint-Pierre. L’animal n’avait malheureusement pas survécu.
En 2018, un baleineau s’est retrouvé coincé au niveau du chantier de la Nouvelle Route du Littoral, précisément sous le viaduc de la Chaloupe. Un important dispositif a été mis en place pour permettre au baleineau de rejoindre le large. Après des heures d’efforts, le baleineau a été libéré avant de s’échouer une seconde fois et de décéder. La dépouille du cétacé a été enterrée au Cap La Houssaye.