Ce vendredi 2 juillet c’est la Journée mondiale des Ovnis. Souvent associés aux extraterrestres, les objets volants non identifiés ont parfois une origine terrestre. Depuis 40 ans, les centres d’études spatiales tentent de rationaliser l’existence des Ovnis.
Soucoupe volante, fusée, Zone 51... les ovnis ont toujours suscité la curiosité du grand public. C’est aussi une source d’inspiration pour le 7e art, à l’image du film E.T. l’extraterrestre, réalisé par Steven Spielberg en 1982.
Le mystère autour des ovnis voit le jour en 1947, aux Etats-Unis à Washington, où le pilote américain Kenneth Arnorld aurait observé neuf objets étranges qui se déplaçaient rapidement dans le ciel. Dans son témoignage, le pilote utilise l’expression « soucoupe volante » pour décrire des objets volants qu’il aurait aperçus.
Selon le CNES (Centre national d’étude spatiale) on recense plus de 2 923 témoignages en France. Le CNES enquête sur ces témoignages pour trouver un lien rationnel concernant ses apparitions dans le ciel. Aujourd’hui une centaine de cas restent inexpliqués par la science.
Le 31 juillet 1968, dans les hauts de l’île, à la Plaine des Cafres, un agriculteur aurait été témoin d’une apparition extraterrestre. D’après son témoignage, il aurait assisté à l’atterrissage d’un engin volant et de deux entités en scaphandre qu’il décrira comme des « Babas Michelin ». Une fois sur place, les forces de l’ordre sceptiques à l’écoute du témoignage sont stupéfaites par les indices qui corroborent le récit du témoin. Un témoignage à l’origine du nom « La soucoupe volante » donné à l’ancienne discothèque emblématique de la Plaine des Cafres.