A Saint-Benoît, des jeunes se forment pour devenir accompagnateurs et guides touristiques. Une formation qui s’inscrit au coeur de l’Economie Solidaire et Sociale (travail dans les associations, les coopératives mais également les mutuelles et fondations et ce, tous secteurs confondus).
L’association bénédictine pour le développement de l’économie sociale et solidaire forme des jeunes sans emploi pour devenir "accompagnateurs et guides touristiques".
En formation, Elodie souhaite devenir guide touristique pour valoriser le patrimoine de La Réunion. "J’explique l’Histoire de l’ancienne gare et du chemin de fer à La Réunion" précise à titre d’exemple la jeune femme, investie dans sa mission.
Dans le cadre des Journées du Patrimoine - les 16 et 17 prochains -, les étudiants auront pour mission de faire découvrir les trésors de la ville de Saint-Benoît.
Dans les secteurs du social, de la santé, ou encore dans les assurances et banques coopératives, l’économie sociale et solidaire est facteur d’utilité sociale. En clair, le profit individuel n’existe pas et les résultats sont réinvestis.
L’économie sociale et solidaire est soutenue par les pouvoirs publics. La baisse de dotations en contrats aidés pourrait donc mettre à mal tous ceux qui s’investissent dans l’action désintéressée.