Du 17 au 20 février se tient la 11e édition du Festival international du film fantatisque de La Réunion à Saint-Philippe. Une programmation d’une soixantaine de films internationaux, tous diffusés pour la première fois à La Réunion, est prévue.
La ville de Saint-Philippe a le plaisir d’accueillir la 11e édition du Festival "Même pas peur" avec une sélection d’une soixantaine de films internationaux, courts et longs métrages, tous diffusés pour la première fois au cinéma à La Réunion. Il y a six avant-premières avant leur sortie en salle en métropole.
Ce sont plusieurs pays du monde qui sont représentées dans la programmation du festival."MEME PAS PEUR dresse une véritable cartographie du cinéma fantastique mondial" .
Aurélia Mengin, directrice du Festival MEME PAS PEUR s’exprime : "Ce qu’on aime, c’est présenter des univers différents, dresser une cartographie des nationalités et des styles de films. Le fantastique n’est pas que de l’horreur, du suspense ou de l’angoisse. C’est aussi de l’ésotérisme, de l’expérimental, de la poésie, sur l’amitié, sur l’amour, sur le désir…"
"Les gens ont besoin d’évasion et de rêver, d’autant plus aujourd’hui. C’est pour ça que le cinéma fantastique est universel."
Une multiude de films pour tous les goûts à découvrir seul, entre amis ou en famille.
Les entrées sont libres. Les réservations pour une séance se fait par mail : [email protected] en citant les informations suivants : Nom, Prénom, Téléphone, le jour et l’heure de la séance souhaitée.
La programmation du Festival MEME PAS PEUR se répartit en cinq sélections :
• Sélection Longs Métrages Internationaux
• Sélection Courts Métrages Internationaux
• Sélection Animation
• Sélection spéciale pour les Écoles
• Sélection spéciale pour les Collèges
La programmation est à retrouver sur le site du ferstival.
"Organiser ce festival est un combat que je me devais de mener pour envoyer un signe fort aux réalisateurs que je défends, aux partenaires et au monde de la culture : il faut continuer à se battre et ne pas baisser les bras, sinon les gens pourraient s’habituer à vivre sans culture. Le monde culturel a eu beaucoup de pudeur et de tenue. Quand on voit une situation qui dure et s’installe dans le temps, il est absolument nécessaire de relever la tête pour défendre la culture."