Selon l’ONU, 1 poisson sur 5 est pêché de façon illicite dans le monde. Pour lutter contre cette pêche illégale, les États de la zone se sont unis pour empêcher ces activités non réglementées. Le rendez-vous s’est tenu sur l’Osiris, le gardien de l’Océan Indien au Port.
Les 23 états membres de l’Association des États riverains de l’océan Indien se sont réunis. L’objectif commun : mieux contrôler la pêche dans nos eaux.
"Préserver la ressource pour assurer une pêche et une activité économique qui soit viable, rentable et durable sur le long terme. Des mesures qui permettraient d’assurer un écosystème en bonne santé et en même temps de satisfaire les besoins alimentaires des populations locales" explique une intervenante.
Pour lutter contre la pêche illégale, les pays de l’Océan Indien resserrent leurs liens. Un fléau dont les recettes sont difficiles à évaluer, car ces activités illicites se déroulent souvent en haute mer avec pour la plupart des engins destructifs.
Toutefois selon les estimations de l’ONU, la pêche illicite représenterait entre 10 et 21 milliards d’euros par an.