En parallèle aux masques FFP2 et chirurgicaux, la fabrication de masques en tissu s’avère une alternative pour équiper un maximum de personnes, s’ils sont conformes et efficaces.
Ce mardi 21 avril marque le 36e jour de confinement. Une mesure au même titre que l’application de gestes barrières visant à permettre de lutter contre la pandémie de coronavirus. Le décompte marquant le déconfinement progressif à partir du lundi 11 mai se poursuit.
Si l’approvisionnement en masques FFP2 et chirurgicaux semble moins problématique qu’au début de l’arrivée de l’épidémie sur le territoire national, la question de fournir un masque "grand public" par personne se pose.
En effet, le Premier ministre Édouard Philippe avait avancé le chiffre de 17 millions de "masques grand public" distribués avant le 11 mai. L’écart entre le nombre de masques disponibles rapporté à la population française qui est de plus de 67 millions d’habitants nécessite de se tourner vers la solution du masque réutilisable en tissu.
Des initiatives se multiplient d’ici et là et les tutos et autres conseils sont nombreux sur la Toile. Mais l’efficacité de ces masques "maison" n’est pas toujours prouvée et peuvent procurer un sentiment illusoire de protection contre le virus.
C’est la raison pour laquelle l’Association française de normalisation (Afnor) a publié sur son site un modèle de masque barrière que l’on peut télécharger. "L’AFNOR a pris l’initiative de capitaliser sur une expertise collective de premier plan en produisant un document de référence proposant des exigences à satisfaire pour fabrication de nouveaux masques", explique l’association.
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