Dans le cadre des élections municipales 2020, LINFO.re vous permet de découvrir l’ensemble des forces en présence dans chaque commune. Voici le portrait d’Yves Ferrières, candidat à Sainte-Marie.
Je suis chef d’entreprise depuis l’âge de 22 ans. J’ai travaillé plus tard pour des grands groupes avant de revenir à La Réunion et repartir vers l’entrepreunariat. Au niveau de l’associatif, j’ai été sportif dans le milieu du karaté, ce qui m’a amené plus tard, porté par ma passion, à présider deux clubs de sport de combat.
Dans le domaine de l’événementiel, je suis à la base de la création du festival de mode "Kalou", dont j’ai organisé les 3 premières éditions.
Sur le plan politique, j’oeuvre en faveur de la commune de Sainte-Marie comme élu depuis maintenant 25 ans, (2e adjoint au maire 17 ans durant auprès de Jean-Louis Lagourgue et comme 1er adjoint sur ces deux années).
J’ai participé avec Maurice Gironcel, Michel Tamaya et Jean-Louis Lagourgue à la création de la Cinor en 1997, au titre d’élu délégué communautaire. Actuellement, je suis vice-président délégué, dans le cadre d’une gouvernante partagée. Ce qui me permet de piloter les projet intercommunaux structurants de ma ville, tels le nouveau port ou la rénovation des chemins Piton Cailloux et Arthur Rimbaud.
Mon ambition est de faire de Sainte-Marie, porte d’entrée de La Réunion, le coeur battant du territoire du Nord.
Je le ferai sur la base d’un projet partagé, en misant sur chacun des échanges, avis et propositions des Sainte-Mariennes et Sainte-Mariens, avec une équipe et une gouvernance nouvelles, portées par l’intérêt commun.
Demain, ensemble, nous ferons de Sainte- Marie, avec le nouveau port, le poumon bleu du Nord de La Réunion et, dans le cadre d’une politique de verdissement et de fleurissement de notre nouveau coeur de ville et de nos quartiers, le poumon vert de ce territoire jadis appelé le “Beau Pays”.
Ensemble, on peut aller encore plus loin. Et être novateur dans beaucoup de domaines.
Néanmoins, il est vain de parler de grands projets et de développement économique tant que ne seront pas apportées, en parallèle des souffrances de nos populations et d’un mieux vivre de nos agents municipaux, des solutions concrètes. Et ce dans tous les domaines, social, économique, touristique, environnemental.
Nous devrons agir en faveur de l’intérêt commun. De l’intérêt local, en faveur de l’emploi.
Je suis historiquement issu d’une famille de droite. Et j’ai réellement pris le virus de la politique à l’époque ou Jacques Chirac occupait les fonctions de Maire de Paris. J’avais eu l’opportunité de venir à deux grandes messes du RPR de l’époque et j’ai été amené, avec d’autres, à faire sa connaissance. Un homme simple et d’un grand charisme. Même si j’avais beaucoup d’estime pour Raymond Barre, je peux dire que Chirac a le plus compté dans mon investissement dans la politique.
Depuis, j’ai quitté les Républicains. J’ai retrouvé ma liberté. Mais je me reconnais toujours dans les valeurs du centre droit.