Dans le cadre des élections municipales 2020, LINFO.re vous permet de découvrir l’ensemble des forces en présence dans chaque commune. Voici le portrait de Philippe Le Constant, candidat à Saint-Benoît.
Après mes études, mon premier engagement citoyen a été dans le milieu associatif (sport, socio-éducatif) pendant 13 ans.
Je me suis engagé en politique en 1982 en adhérant au Parti socialiste et j’ai été élu aux municipales de 1983 sur la liste de Jean-Claude Fruteau.
J’ai siégé dans la majorité municipale de 1983 à 2001 (j’ai été maire de 1999 à 2001 lorsque Jean-Claude Fruteau a été réélu député européen), dans l’opposition de 2001 à 2008, puis de nouveau dans la majorité de 2008 à 2014.
Je suis conseiller départemental depuis 1992 et j’ai été président de la CIREST de 2008 à 2011.
J’ai été le Premier Secrétaire de la Fédération socialiste de La Réunion de 2012 à 2018.
Une page se tourne à Saint-Benoît, puisque le maire sortant ne se représente pas. Je suis candidat pour écrire une nouvelle page de l’histoire de notre commune.
Je souhaite lui insuffler un nouvel élan, à partir de la force de mon expérience, acquise au fil des ans grâce aux responsabilités que m’ont confiés les Bénedictin(e)s et avec ma nouvelle équipe.
Mon projet, bâti collectivement à partir des attentes de la population exprimées lors des nombreux échanges que j’ai multipliés depuis 2 ans, et des contributions de mes colistier(e)s, s’articule autour de 5 axes majeurs :
- le développement économique et touristique pour rendre notre ville plus attractive ;
- des liens sociaux et une solidarité garantis en privilégiant la proximité ;
- des transports pour tous et une circulation plus fluide ;
- l’épanouissement de chacun(e) par l’éducation, le sport, la culture et l’animation ;
- la santé, la sécurité et le bien-être écologique pour tous
Saint-Benoît doit redevenir la capitale de l’Est, la ville des eaux vives.
Je conduis une liste dont le socle est le rassemblement de 5 partis politiques de Gauche (PS, PLR, Rezistans 974, PCR et EELV), complété par une majorité de colistier(e)s sans étiquette politique, des jeunes et des personnes expérimentées, motivées par la volonté d’agir pour Saint-Benoît.