Amaury de Saint-Quentin était présent lors des journées de la sécurité intérieure. Le préfet de La Réunion s’est exprimé au sujet du risque terroriste et de la crise requin.
Amaury de Saint-Quentin, préfet de La Réunion, évoque plusieurs sujets au micro d’Antenne Réunion.
"Ces journées de la sécurité intérieure sont essentielles. Il s’agit de rappeler à nos concitoyens les moyens dont disposent la sécurité publique, l’Etat : gendarmerie, police, service départemental d’incendie et de secours mais aussi la sécurité civile, la Croix Rouge, la Croix Blanche. C’est un temps d’information, de pédagogie, d’explication et qui montre comment ces services sont susceptibles d’intervenir."
"On peut être amenés à faire intervenir des unités spécialisées du type du GIPN ou du GIGN. On a montré ce qu’est maintenant l’interopérabilité nécessaire à certaines de ces interventions. On a montré un modèle-type d’une prise d’otages dans un bus."
"Ces sujets sont actuellement étudiés. Nous avons des réflexions qui sont menées sur l’évolution des dispositifs. Les choses se font après concertation avec notamment des instances nationales, après examen d’un certain nombre de données. Comme la ministre a pu l’évoquer, un certains nombre d’initiatives vont être prises dans les temps à venir. On préfère bien identifier les tenants et aboutissants des différents enjeux avant d’engager le territoire dans une direction."