Le fondateur de l’association Pti Coeur s’est lancé dans la politique cette année et a créé la surprise avec une 3e place à la Législative de la 7e circonscription.
Aurélien Centon revient sur une année charnière pour lui. Le fondateur de l’association Pti Coeur s’est fait connaître pour des combats sociaux et humains en faveur des Réunionnais.
Il s’est notamment au fil des années impliqué pour aider la construction de maisons de personnes malades mais a aussi beaucoup contribué pour tenter de permettre à Marie Stanislas de passer ses derniers jours à La Réunion.
Aurélien Centon s’est penché sur la mise en place d’un dispositif d’urgence pour les transports sanitaires et l’aide des familles dans ces situations. Il déplore que le projet lancé avec les élus de La Réunion n’a pas vu le jour.
"On a vécu une campagne difficile, je remercie toutes les personnes qui nous ont soutenu. C’était pas facile, on arrive, on avait pas de parti. On continue de travailler. La vie a repris son cours. J’espère qu’on a pu faire comprendre qu’on est présent."
"Mon objectif est d’aider la population. Je ne rêve pas d’être maire, je veux surtout aider la population."
"On savait à quoi s’attendre. On a voulu rester droit avec ma binôme. On a pas donné de consignes de vote. La politique est un monde qui est difficile, il ne me fait pas envie particulièrement."
"Il faut prendre l’avis de la population avant de prendre une décision importante. Il a fallu 15 jours de manifestations aux élus pour se rendre compte qu’il faut prendre l’avis de la population."
"La pauvreté concerne tout le monde, même les personnes qui travaillent on des fins de mois difficiles. On se bat aussi en place pour la mise en place d’un dispositif d’urgence lorsqu’une famille doit partir du jour au lendemain parce qu’un enfant doit subir une opération."
"On a que des promesses lors qu’il y a des caméras. Mais dès qu’il n’y a plus de caméras, on n’a plus de dispositif. Mon idée est de mettre un homme politique sous contrat."
"Je souhaite qu’il y ait moins de personnes dans le besoin. Je souhaite la bonne santé et le reste viendra."