Le 8 février dernier, Alain Armand, suspecté de prise illégale d’intérêts en tant que président de la Sodiac, avait été relaxé par le juge.
Retour devant le juge ce jeudi pour Alain Armand. Le 8 février dernier, le président de la Sodiac avait été relaxé dans une suspicion de prise illégale d’intérêts.
Mais le parquet avait décidé de faire appel de cette décision. Alain Armand a été condamné à 10 ans d’inéligibilité et 30 000 euros d’amende.
Lors de son passage devant le juge le 8 février, Alain Armand avait été relaxé. Mais le 10 octobre dernier, alors que le parquet avait fait appel, un an de prison avec sursis, 50 000 euros d’amende et 10 ans d’inéligibilité avaient été requis à son encontre.
Alain Armand a été condamné à 10 ans d’inéligibilité et 30 000 euros d’amende.
Le vice-président du Conseil départemental était suspecté de prise illégale d’intérêts en tant que président de la SODIAC.
Les faits remontent à 2015. Alors président de la Sodiac (Société d’économie mixte dévolue à l’aménagement immobilier), mais également gérant de la société 2A liée au Groupe Sobefi, une société privée consacrée elle aussi aux transactions immobilières.