Le corps calciné retrouvé mercredi soir en Ardèche a été identifié. Il s’agit bien du corps de la jeune Marie-Jeanne Meyer, la joggeuse portée disparue samedi dernier alors qu’elle faisait un footing. Marie-Jeanne Meyer, 17 ans, était d’origine réunionnaise par sa mère, comme nous vous l’annoncions en exclusivité hier. En métropole comme à la Réunion, ce drame a suscité un vif émoi. Pour l’heure, aucune piste n’est écartée par les enquêteurs mais l’hypothèse criminelle semble se préciser.
Les analyses ADN pratiquées sur le corps calciné ont balayé tous les doutes des enquêteurs. La dépouille est bien celle de Marie-Jeanne Meyer, 17 ans, comme l’a indiqué le Procureur de la République de Privas, Christophe Raffin.
Le corps de la jeune fille d’origine réunionnaise a été découvert mercredi, à 16H45 (heure métropole) dans une zone escarpée, sur les hauteurs de Tournon-sur-Rhône. Quelques heures plus tôt, les enquêteurs avaient mis la main sur un lecteur MP3 et des lunettes susceptibles d’appartenir à la joggeuse.
Un important dispositif de recherche a été déployé pour retrouver Marie-Jeanne. Plus de 200 gendarmes, pompiers et volontaires ont ainsi ratissé au peigne fin la zone boisée, située à quelques kilomètres seulement du domicile de la jeune fille. Si pour l’heure, aucune hypothèse n’est privilégiée par les enquêteurs, les indices recueillis jusque là font penser à un acte criminel. Selon le Procureur en charge du dossier, Christophe Raffin, le corps a été retrouvé "dans un trou dans la terre, dans un endroit très difficile d’accès, qu’il faut connaître". Le magistrat a également précisé à la presse que le fameux trou - une fosse à gibier - était "carré, bien taillé et pas découpé à la va-vite et qu’il aurait pu être creusé par des chasseurs".
Cet acte sordide pourrait avoir été commis par un ou plusieurs individus. Le terrain escarpé, reculé, où a été retrouvé le corps sans vie de Marie-Jeanne Meyer suppose en effet que quelqu’un de "costaud" ( un rôdeur, un chasseur, ou un proche de la victime) ou plusieurs personnes familières du lieu auraient transporté la dépouille avant de la carboniser.
Disparue depuis samedi soir, la jeune fille, a été retrouvée grâce au témoignage d’un habitant de Tournon. Selon cet homme, "des flammes s’élevaient au loin, la nuit de la disparition".
Comme nous vous l’annoncions hier, la jeune Marie-Jeanne Meyer était d’origine réunionnaise par sa mère Sonia. Les membres de sa famille qui résident à la Réunion sont sous le choc après cette tragique disparition. La grand-mère maternelle de la victime fait tout pour rejoindre au plus vite la métropole, afin d’apporter son soutien aux parents endeuillés.
Le parrain de Marie-Jeanne, Jocelyn Cavillot , explique qu’il est difficile d’accepter la mort de sa nièce, "ce déchaînement de violence... Le fait qu’on ne puisse pas faire un jogging sans être tué, assassiné, voir violenté avant... ".
L’enquête judiciaire se poursuit. Les forces de l’ordre ratisseront aujourd’hui encore la zone de la macabre découverte, en vue de récolter de nouveaux indices et comprendre les circonstances de cette tragédie.
Comme nous vous l’annoncions hier, la jeune Marie-Jeanne Meyer était d’origine réunionnaise par sa mère Sonia. Les membres de sa famille qui résident à la Réunion sont sous le choc après cette tragique disparition. La grand-mère maternelle de la victime fait tout pour rejoindre au plus vite la métropole, afin d’apporter son soutien aux parents endeuillés.
Le parrain de Marie-Jeanne, Jocelyn Cavillot , explique qu’il est difficile d’accepter la mort de sa nièce, "ce déchaînement de violence... Le fait qu’on ne puisse pas faire un jogging sans être tué, assassiné, voir violenté avant... ".
L’enquête judiciaire se poursuit. Les forces de l’ordre ratisseront aujourd’hui encore la zone de la macabre découverte, en vue de récolter de nouveaux indices et comprendre les circonstances de cette tragédie.
, et autres) -->