Comme l’avait annoncé Stéphane Narbaud, commandant du PGHM, à LINFO.re ce mercredi matin avant même le début du déploiement des équipes, les recherches pour retrouver Ismaël, le jeune chasseur de tangue porté disparu à Takamaka, sont très compliquées. Le jeune homme n’avait, en sa possession, aucun moyen de communication que le PGHM pourrait utiliser pour le localiser. Sa mère, inquiète, témoigne.
Éprouvée et chagrinée, la mère du jeune chasseur s’est montrée résignée de remettre à demain les recherches pour retrouver son fils. En effet, on a été contraint d’arrêter les recherches en raison de l’obscurité à la tombée de la nuit, ce mercredi. "On va reprendre les recherches demain car il est un peu tard et on ne voit plus grand-chose en forêt", a-t-elle confié au micro d’Antenne Réunion.
Elle a aussi relaté son incrédulité quand le père d’Ismaël lui a annoncé la disparition de son fils : "J’étais chez moi à l’Etang Salé, à 22h30, quand mon ex m’a appelé et m’a indiqué qu’Ismaël a disparu alors qu’il était en forêt. Cela m’a surpris. Je ne savais pas quoi faire et je suis allée travailler ce matin. J’ai attendu les gendarmes."
Ce n’est que dans l’après-midi qu’ils ont appris des gendarmes que des hélicoptères allaient être envoyés pour effectuer les recherches. "On a donc attendu mais je ne sais pas ce qui s’est passé", a-t-elle indiqué.