Alain Armand a été condamné en novembre 2019 à 10 ans d’inéligibilité et 30 000 euros d’amende. Suite à sa condamnation dans l’affaire de la Sodiac, le vice-président du Conseil départemental avait annoncé sur notre plateau se pourvoir en cassation. La Cour de Cassation a quant à elle, décidé de le renvoyer devant la Cour d’Appel.
Dans l’affaire Alain Armand, la Cour de Cassation a décidé de le renvoyer devant la Cour d’Appel, annoncent nos confrères du JIR.
Le 7 novembre 2019, Alain Armand a été condamné à 10 ans d’inéligibilité et 30 000 euros d’amende avec interdiction d’exercer dans la fonction publique pendant 5 ans.
Il a été condamné pour prise illégale d’intérêts en tant que président de la Sodiac.
Lors de son passage devant le juge, Alain Armand avait été relaxé. Mais alors que le parquet avait fait appel, un an de prison avec sursis, 50 000 euros d’amende et 10 ans d’inéligibilité avaient été requis à son encontre.
Cette fois, Alain Armand a été condamné à 10 ans d’inéligibilité et 30 000 euros d’amende.
Le vice-président du Conseil départemental était suspecté de prise illégale d’intérêts en tant que président de la SODIAC.
Les faits remontent à 2015. Alors président de la Sodiac (Société d’économie mixte dévolue à l’aménagement immobilier), mais également gérant de la société 2A liée au Groupe Sobefi, une société privée consacrée elle aussi aux transactions immobilières.