Mis en examen mardi 11 avril pour tentative de meurtre, l’homme soupçonné d’avoir agressé un trentenaire avec un sabre à Grand Îlet (dimanche dernier) a été présenté au juge des libertés et de la détention ce vendredi. Son placement en détention provisoire a été maintenu dans l’attente de son procès. La demande de mise en place d’un bracelet électronique n’a pas été retenue.
L’homme âgé de 28 ans, soupçonné d’avoir agressé un trentenaire avec une arme blanche, a été présenté devant le parquet du tribunal correctionnel de Saint-Denis mardi 11 avril.
Mis en examen pour tentative de meurtre, il a été présenté au juge des libertés et de la détention (JLD) ce vendredi après-midi. À l’issue de cette confrontation, la décision est tombée. Le placement en détention provisoire est maintenu.
La demande de mise en place d’un bracelet électronique n’a pas été retenue, car le suspect n’a pas de possibilité d’hébergement, en dehors du Cirque de Salazie.
L’avocat de l’accusé explique que son client a agi sous le coup de la colère, après des semaines de harcèlement : "Cela fait suite à plusieurs humiliations, vexations. Il ne voulait pas en arriver là. C’était une explosion de rage et de colère, qui a fait qu’il est passé à l’acte. Mais, aujourd’hui, il s’en mord les doigts. Il avait peur de la victime. Plusieurs fois la victime a demandé devant plusieurs personnes de se battre. Il se réveillait tous les jours en se disant que c’était peut-être aujourd’hui qu’il allait prendre une raclée."
Les faits ont été commis dimanche 9 avril, dans le secteur de Grand Îlet à Salazie. Une altercation très violente a éclaté entre deux hommes, près de l’église.
Un jeune, âgé de 28 ans, a sorti un sabre, et asséné plusieurs coups à un trentenaire. La victime a été touchée au dos, au coude et à la main. Gravement blessé, l’homme de 37 ans a été opéré.
L’auteur présumé des coups de sabre a été interpellé par les gendarmes. Il n’a opposé aucune résistance aux militaires. L’homme a expliqué son geste aux enquêteurs. Il affirme avoir été victime de harcèlement durant des semaines avant ce passage à l’acte.
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...
http://www.linfo.re/la-reunion/fait...