Les 3 jeunes femmes de 18 et 19 ans interpellées dimanche matin à l’aéroport Roland Garros avec 30 kilos de résine de cannabis et 2700 cachets d’ecstasy sont auditionnées par les policiers. Le butin était caché dans des boîtes à café.
Trois jeunes femmes de 18 et 19 ans ont été interpellées à leur descente de l’avion en provenance de métropole. Une information révélée dimanche soir dans le Journal Télévisé d’Antenne Réunion.
Elles avaient dans leurs valises près de 30 kilos de résine de cannabis et près de 2700 cachets d’ecstasy.
La résine de cannabis était cachée dans des boîtes à café. La drogue dure dans des sac zippé.
Les trois jeunes femmes sont arrivées ce dimanche matin à 8 heures à La Réunion. Elles ont été interceptées par les douaniers qui ont fouillé leurs valises après la mise en évidence par la machine à rayons X de masses suspectes.
Le trio de mules a ensuite été placé en garde à vue au commissariat Malartic. Dans le cadre d’une affaire de trafic de drogues, celle-ci peut durer 4 jours.
La douane saisit 29,9 kg de résine de cannabis et 2676 cachets d’ecstasy dissimulés dans les bagages de trois passagères en provenance de métropole
Dimanche 23 juin 2019, les services des douanes de l’aéroport de Saint-Denis Roland-Garros ont saisi 29,9 kg de résine de cannabis et 2676 cachets d’ecstasy.
Les agents de la brigade de surveillance extérieure (BSE) de Saint-Denis-Gillot ont sélectionné trois voyageuses d’une vingtaine d’années au débarquement d’un vol en provenance de métropole. Le passage des bagages à l’appareil à rayons X a fait apparaître à l’image des masses rectangulaires sombres semblant dissimuler des marchandises de fraude.
Parmi quelques vêtements et effets personnels des jeunes femmes, leurs valises contenaient des boîtes remplies de café renfermant des sachets thermosoudés dans lesquels les agents des douanes ont découvert des savonnettes de résine de cannabis, pour un poids total de 29,9 kg. L’une des voyageuses était également porteuse d’un sac zippé dans lequel les cachets d’ecstasy étaient conditionnés.
À l’issue de la procédure douanière, sur instruction du procureur de la République, l’infracteur a été remis à la Sûreté départementale.