Les autorités sanitaires britanniques attirent l’attention sur un nouveau symptôme associé au variant JN.1 et met en garde contre la nécessité de rester vigilant face à la pandémie.
Alors que la circulation du SARS-CoV-2 demeure active, le sous-lignage JN.1, également appelé "Juno", représente désormais la majorité des séquences interprétables en France hexagonale. Bien que les cas liés à ce variant ne semblent pas entraîner des complications plus graves que d’autres formes du virus, un symptôme particulier retient l’attention des autorités de santé.
Selon l’Agence de santé britannique (NHS), les patients infectés par le variant JN.1 présenteraient fréquemment des symptômes de diarrhée. D’autres manifestations courantes du Covid-19, telles que fièvre, signes respiratoires, toux, maux de tête, fatigue, perte de l’odorat et du goût, demeurent des indicateurs importants de l’infection.
Les personnes vulnérables, en particulier celles âgées de plus de 65 ans ou présentant des antécédents médicaux tels que des troubles cardiovasculaires, le diabète, des pathologies respiratoires chroniques, ou une insuffisance rénale chronique, sont exposées à un risque accru de développer des formes graves de la maladie. Ainsi, la prudence s’impose, et la vaccination reste une mesure essentielle.
La Haute Autorité de Santé rappelle que tous, à partir de l’âge de 5 ans, y compris les femmes enceintes dès le premier trimestre, peuvent se faire vacciner contre le Covid-19. De plus, les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, présentant un risque de forme grave ou vivant avec une personne immunodéprimée, "peuvent également être vaccinés contre le Covid-19."
Source : News.yahoo.com