Le début du mois s’accompagne toujours d’un lot de changements. Qu’est-ce qui attend les ménages au mois de mars ?
A partir de ce 1er mars, les restaurants, les cantines scolaires et les restaurants d’entreprises et d’hôpitaux devront obligatoirement afficher l’origine de toutes les viandes (porc, volaille, agneau et mouton). La note devra mentionner les lieux de naissance, d’élevage et d’abattage des viandes. Dans la foulée, il devra être précisé sur l’étiquetage s’il s’agit de viande fraîche, congelée, réfrigérée ou surgelée.
Une augmentation des prix du tabac entrera également en vigueur au 1er mars 2022. Cette hausse concernera certains paquets comme ceux de Maya Green Spirit qui devraient augmenter de 10 centimes pour passer de 9,70 euros à 9,80 euros, rapporte Le Figaro.
Un autre changement à noter en ce début du mois, l’entrée en vigueur d’un nouveau service public des pensions alimentaires. Sauf refus des parents qui divorcent, toutes les nouvelles pensions alimentaires passeront obligatoirement par l’Agence de recouvrement et d’intermédiation des pensions alimentaires gérées par la CAF et la MSA. Il entre en vigueur mardi pour les divorces devant un juge et à partir du 1er janvier 2023 pour les autres cas de figure.
Les Français qui gagnent moins de 2 000 euros de revenus nets par mois recevront l’indemnité inflation au plus tard le 1er mars pour ceux qui ne l’ont pas encore reçu. Cette prime de 100 euros nets est destinée à faire face à la hausse des prix des carburants et de l’énergie.
Il ne reste plus qu’un mois pour les employeurs qui souhaitent verser une prime Macron à leurs salariés. Ils doivent en effet le faire jusqu’au 31 mars 2022. La prime peut s’élever à 2 000 € bruts pour les salariés dont les revenus bruts ne dépassent pas 4 809,45 € par mois.
Ce 1er mars 2022 marque l’entrée en vigueur du Contrat d’Engagement Jeune. Grâce à ce dispositif, des jeunes de 16 à 25 ans (29 ans en cas de handicap) sans formation et/ou sans emploi peuvent bénéficier d’une formation, d’une insertion facilitée et d’une aide financière. Il prévoit également le versement d’une allocation mensuelle allant jusqu’à 500 euros, en échange de 15 à 20 heures par semaine de formation ou d’accompagnement, pendant 18 mois maximum.
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