Le "baromètre de l’attractivité des métropoles françaises" d’Arthur Loyd, a dressé le classement des villes françaises où il fait bon d’y travailler.
Les conséquences de l’épidémie de la Covid-19 se font toujours ressentir dans le monde du travail. Dans son "baromètre de l’attractivité des métropoles françaises", Arthur Loyd, réseau national de conseil en immobilier d’entreprise, a mis en avant la résilience dans les régions face à la crise sanitaire. D’après Le Parisien, la vaste étude sur les mobilités est basée sur l’analyse de 75 critères statistiques. Il a été ainsi révélé que la façade atlantique et le sud de la France enregistrent la plus importante capacité de rebond. Les Français accordent surtout un regard positif sur les villes à taille humaine qui bénéficient d’une attractivité accrue. "Elles leur offrent une augmentation du pouvoir d’achat, en particulier dans l’immobilier, et une meilleure qualité de vie, à seulement une ou deux heures de Paris ou non loin d’une métropole régionale…", rapporte le quotidien.
Dans la catégorie des très grandes métropoles, dépassant le million d’habitants, Bordeaux détrône Toulouse au classement général, une grande première, mais surtout en matière de performances économiques. En ce qui concerne les grandes métropoles, Nantes arrive à la première position grâce à ses bonnes performances économiques. Grenoble se hisse à la seconde place après avoir été à la 5e. Pour la première fois, Strasbourg complète le podium à la place de Montpellier qui termine au 5e rang. Du côté des métropoles intermédiaires, Brest et Clermont-Ferrand font la différence. Enfin, dans les agglomérations de taille moyenne, Valence continue de garder la pole position. Elle continue de perfectionner ses points forts, notamment les performances économiques, la qualité de vie ou le critère "connectivité, capital humain et innovation", d’après Arthur Loyd.
En savoir plus dans Le Parisien