La plupart des plaignantes sont des jeunes "âgées de 16 à 28 ans". Les autorités mènent des investigations depuis le mois d’avril.
Les piqûres sauvages en boîte de nuit n’en finissent pas. Ce phénomène, dont le mystère reste entier, préoccupe de plus en plus les autorités françaises. Ces trois derniers mois, des centaines de victimes se sont manifestées à travers l’Hexagone.
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Vingt-et-une personnes, dont la plupart "âgées de 16 à 28 ans", ont déposé plainte dans la cité phocéenne (Bouches-du-Rhône) depuis le 24 avril, rapporte Actu Marseille. Mais d’après le parquet, seule une d’entre elles a été victime "de perte de conscience ou de malaise".
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C’est le nombre de plaintes officiellement enregistrées depuis deux mois, mais ce chiffre pourrait être bien plus important si les victimes qui ne se sont pas déclarées sont prises en compte. À la suite des signalements, une enquête a été ouverte afin de déterminer si les plaignant(e)s se sont fait injecter des produits. Si oui, de quelle substance s’agit-il ?
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