Carlos Ortega/EFE/SIPA
La Haute autorité de santé (HAS) assure avoir tenu compte des "dernières données disponibles, et notamment les données épidémiologiques françaises" avant de faire part de ses recommandations.
La Haute autorité de santé (HAS) assure avoir tenu compte des "dernières données disponibles, et notamment les données épidémiologiques françaises" avant de faire part de ses recommandations.
Dans un communiqué, émis mercredi 13 juillet dernier, la Haute autorité de santé a donné son avis sur la vaccination contre la Covid-19 en recommandant d’élargir l’injection d’une deuxième dose de rappel aux femmes enceintes et aux personnes de moins de 60 ans présentant des comorbidités. La HAS préconise cette 2e dose de rappel à ces catégories de personnes "dans un contexte de reprise épidémique caractérisé en particulier par la circulation du sous-lignage BA.5 d’Omicron", rapporte Francetvinfo.fr.
Concrètement, la HAS recommande 3une dose de rappel additionnelle [2e rappel ou 4e dose le plus souvent] aux adultes de moins de 60 ans identifiés comme étant à risque de forme grave de Covid-19, aux femmes enceintes et aux personnes vivant dans l’entourage ou en contacts réguliers avec des personnes immunodéprimées ou vulnérables". Dans le cas du reste de la population, une dose de rappel additionnelle reste "recommandée en respectant un délai minimal de trois mois" après l’infection, "si une infection par le SARS-CoV-2 est survenue après la dernière dose".
Pour les délais à respecter entre deux doses de rappel, il faut trois mois pour les personnes de 80 ans et plus, les résidents en Ehpad ou unités de soins de longue durée et les personnes immunodéprimées tandis que six mois pour les autres catégories de personnes.
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