"Je comprends parfaitement l’inquiétude", a annoncé Edouard Philippe lors de son déplacement à Rouen.
Le Premier ministre Edouard Philippe a reconnu lundi soir, à Rouen que les odeurs provoquées par l’incendie de l’usine Lubrizol étaient "gênantes", mais il a assuré qu’elles n’étaient "pas nocives". Le chef du gouvernement s’est rendu, dans la soirée du lundi 30 septembre, sur le site afin de rassurer la population.
"Nous avons la volonté très ferme de dire ce que nous savons dès que nous le savons et d’accompagner nos concitoyens", a-t-il ainsi assuré. "Les odeurs que nous sentons (…) sont effectivement très dérangeantes, très pénibles à supporter, elles peuvent entraîner en effet un certain nombre de réactions, mais elles ne sont pas nocives", a-t-il, en outre, déclaré devant le site.
Il a réaffirmé sa volonté d’"absolue transparence" sur les causes et les conséquences de l’accident.