François Hollande aurait avoué sa liaison avec l’actrice Julie Gayet à Valérie Trierweiler. Bien que la nouvelle l’ait choquée, celle-ci ne souhaite pas pour autant « claquer la porte » et « semble prête à pardonner ».
Le jeudi 9 janvier, c’est-à dire, la veille de la parution du dossier Closer sur la liaison présumée entre François Hollande et l’actrice Julie Gayet, le couple présidentiel aurait discuté de cette affaire dans les lambris de l’Elysée, et cela « sans heurts, ni cris ». Le chef de l’Etat "n’a rien nié. Ni les escapades à scooter avec son garde du corps au milieu de la nuit, ni la fréquence de ces rendez-vous clandestins, ni la date à laquelle cette ‘love affair’, comme la baptise désormais la presse étrangère, a démarré, il y a déjà plusieurs mois ", a dévoilé mardi Le Parisien.
Un proche de Valérie Trierweiler se confie au journal :« (elle) a pris un TGV dans le buffet, raconte une de ses amies. "Elle était complètement sonnée. Bien sûr, elle n’ignorait rien des rumeurs qui couraient dans Paris depuis des semaines. Elle a simplement voulu croire qu’elles étaient fausses". Malgré le choc, la compagne du président ne compte pas renoncer pour autant à son couple.
"Elle semble prête à pardonner", affirme cette source citée par le journal en ligne. Valérie Trierweiler " ne veut pas claquer la porte sur un coup de tête, mais elle veut savoir très vite quelles sont les intentions de François Hollande", poursuit cette dernière. Au sein de l’Elysée, on estime que le couple présidentiel devra réfléchir le plus rapidement possible à la suite qui sera donnée à cette affaire. D’autant plus que la date du 11 février –jour où ils sont attendus à la Maison Blanche sur invitation du couple Obama- approche.
Les chargés de protocole travaillent déjà sur les préparatifs qui entourent ce déplacement malgré le fait que la présence de Valérie Trierweiler aux côtés de son "
homme " soit désormais incertaine. Pour l’instant, cette dernière continue
"sa cure de repos " dans un hôpital parisien. Son cabinet a confirmé lundi qu’"
elle restera sous surveillance pour une durée indéterminée ".
De son côté,
le chef de l’Etat s’apprête à rencontrer la presse française et étrangère pour présenter à la nation son plan d’action pour 2014. Pour les observateurs, le locataire de l’Elysée ne pourra pas échapper aux questions des journalistes par rapport à cette tempête médiatique qu’est devenue l’affaire Gayet et devra d’ores et déjà s’y préparer.